Cet article présente le cas de Sonia, une adolescente de 11 ans souffrant d’un eczéma sévère. Au-delà des soins cutanés, l’histoire met en lumière la dimension psychologique et relationnelle de la dermatite atopique, notamment dans le lien mère-fille.
L’eczéma de Sonia illustre combien la maladie de peau ne se réduit pas à une atteinte médicale.
L’article rappelle que l’eczéma est une maladie chronique multifactorielle, jamais uniquement allergique ou psychologique, mais souvent le reflet d’un puzzle complexe mêlant facteurs biologiques, environnementaux et affectifs